Textes › Extraits critiques

Si les œuvres de Rhode Makoumbou vous inspirent, nous vous invitons à écrire un texte critique — que nous nous ferons un plaisir de publier sur ce site — et à nous l’envoyer par mail à l’adresse marc.somville@skynet.be. N’oubliez pas de le signer en indiquant vos prénom, nom, qualité et pays.
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D’avance nous vous remercions.
Annette Kouamba Matondo, journaliste du blog Akm-Production
Aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre d’années. Après une incontestable reconnaissance sur le plan international, le vent a fini par tourner pour Rhode qui a reçu le Grand Prix des Arts et des Lettres 2012 du Président de la République par le biais de Jean-Claude Gakosso, ministre de la culture au Congo, son pays natal. Un bel hommage pour cette jeune femme qui a fait de son art une arme en vue de vulgariser les différentes activités sociales de la femme africaine. Une description réelle car quand on se trouve face au travail de Rhode, on est vite conquis par ces multiples portraits de femmes, mais on est tout aussi frappé par l’exactitude de son pinceau sur les différentes besognes domestiques que ces femmes accomplissent spontanément.
Marina Ondo, chercheuse universitaire à Lyon 3, France
Elle [Rhode Bath-Schéba Makoumbou] montre le savoir-faire qui fait connaître l’histoire oubliée, toute la science qui réside dans ses gestes quotidiens devenus triviaux : Mettre un enfant au dos pour travailler tranquillement et le bercer en même temps, piler des aliments pour les conserver, tam-tam qui remplaçait la radio pour informer et jouer de la musique, pouvoir transporter sans ressentir le poids des objets lourds sur la tête, la confection des hottes pour les récoltes futures, femmes savamment coiffées au fils, tresses sophistiquées... autant de codes artistiques de son enfance ressuscités dans des châssis métalliques, des sciures de bois mélangées à de la colle à bois.
Alain Mabanckou, écrivain congolais
Ce qui me fascine, c’est d’abord le silence qu’il y a autour de ses toiles, et puis quand on se rapproche, tous les éléments de la peinture commencent à parler et à vous harceler presque au fur et à mesure pour dire la société telle qu’elle est. L’universalité se fait dans l’art. Rhode peint ou sculpte une scène qui paraît comme quelque chose de local, mais l’universalité, c’est le local avec les portes qui sont ouvertes.
Jean-Claude Gakosso, Ministre de la Culture et des Arts de la République du Congo
Quelle belle célébration du Beau et du Vrai que ces oeuvres de Rhode Makoumbou qui apportent tant de lumière ici au coeur de l’Europe. Elle est l’une des figures féminines contemporaines les plus emblématiques du Congo.
Mahia Alonso, journaliste du site Nananews
Ses toiles comme ses sculptures s’embrasent du jeu des couleurs alliées à la dynamique du mouvement. La stylisation, juste poussée, inspirée de la statuaire traditionnelle, accrédite et renforce cette dynamique.
Jeanine Smolec-Rivais, critique d’art
C’est fort de cette revendication de l’africanité, et parce que la sculpture n’est vivace que dans les sociétés sédentaires, vivant du labeur de la terre, que [Makoumbou] a choisi de mettre ainsi ses personnages au travail. Ses œuvres sont aussi structurées que les sculptures primitives... conférant à cette projection de son imaginaire sa spécificité propre, culturelle et identitaire.
Okani Agua, journaliste au magazine Just Class
Combative, elle fait de la diversité un véritable combat de société et de son art un outil de mémoire et de partage entre les peuples du monde.
Luigi Elongui, journaliste au magazine Afrique Asie
Dans ses toiles ou ses sculptures, le jeu des couleurs s’allie aux gestes dans un dynamisme fébrile. Une stylisation à peine esquissée s’y manifeste, comme dans le bleu suggestif de son tableau «En route vers le village», et qui s’inspire de la statuaire traditionnelle. Engagée dans l’art depuis vingt-deux ans - son père David est peintre - , elle est l’une des rares créatrices dont la valeur est reconnue sur le plan international ainsi que dans son pays d’origine.
Antoine Tshitungu Kongolo, écrivain et chroniqueur littéraire
Une poésie enivrante émane des peintures de Rhode, inspirée par la vérité du quotidien et par la beauté de la femme africaine.

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Œuvres*

Rhode Makoumbou › Peinture : «Le fardeau de la femme africaine» • ID › 217
Le fardeau de la femme africaine
2001
Peinture
0,45 x 0,35 m
ID › 217
1
Rhode Makoumbou › Sculpture : «Le bois pour le repas» • ID › 289
Le bois pour le repas
2011
Sculpture
0,56 x 0,25 m
ID › 289
2
Rhode Makoumbou › Sculpture : «Le mponzi» • ID › 312
Le mponzi
2011
Sculpture
0,54 x 0,20 m
ID › 312
3

*Sélectionnées aléatoirement parmi 147 peintures et 177 sculptures.

Presse écrite
Cité Black
(France)
Rhode Makoumbou dans «Cité Black», magazine n° 73 (fév 2007)
Jean-Marie Thierry, «Rhode Bath-Schéba Makoumbou», in Cité Black, magazine n° 73 (2007).
Coupure de presse : 1
Évènements
Rhode Makoumbou et le Président de la République Denis Sassou N’Guesso
Évènement: Rhode Makoumbou et le Président de la République Denis Sassou N’Guesso
Le 13 juillet 2013 à Brazzaville, Rhode Makoumbou est élevée au grade d’officier de l’Ordre du Dévouement Congolais par le Président de la République Denis Sassou N’Guesso.

Rhode Makoumbou et la Princesse Mathilde
Évènement: Rhode Makoumbou et la Princesse Mathilde
À l’occasion de l’exposition de ses sculptures pour le 10ème anniversaire de l’association «Mamas for Africa», Rhode Makoumbou rencontre la Princesse Mathilde de Belgique (devenue Reine en juillet 2013).
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